Le Jazz de l’Utah a retrouvé le sourire en s’imposant avec panache contre les Knicks de New York (121-106), stoppant ainsi une série de quatre défaites. Une victoire construite sur une adresse incroyable à trois points et un Lauri Markkanen tout simplement inarrêtable.
Les joueurs d’Utah ont littéralement fait tomber la foudre derrière l’arc, avec un impressionnant 19 sur 34 à trois points. Collin Sexton, auteur de 25 points, a été décisif dans le dernier quart-temps avec quatre missiles à longue distance. Mais la star de la soirée, c’est bien Lauri Markkanen, qui a planté 34 points tout en se montrant ultra efficace (5/8 à trois points, 11/15 au tir).
Face à une défense des Knicks souvent en retard, le Jazz n’a pas tremblé. À chaque tentative de retour de New York, un shoot extérieur venait calmer leurs ardeurs.
Markkanen, le patron
Lauri Markkanen a montré pourquoi il est le leader de cette équipe. Quand les Knicks sont revenus à seulement deux points grâce à un run énorme dans le troisième quart-temps, le Finlandais a répondu présent. Un panier par-ci, un lancer-franc par-là : il a parfaitement géré les moments chauds pour garder son équipe devant.
Son duo avec Collin Sexton, lui aussi en feu, a fait très mal à New York. Markkanen termine aussi avec 9 rebonds et un énorme impact des deux côtés du terrain.
Les Knicks dans le dur
Pour les Knicks, la soirée a été frustrante. OG Anunoby a brillé avec 27 points, mais les autres n’ont pas suivi. Karl-Anthony Towns, habituellement si dangereux à trois points, a vécu un cauchemar avec 1 sur 9 derrière l’arc. Même si New York a montré de belles choses par moments, leur défense trop passive et leur maladresse générale (39 % au tir) les ont plombés.
Cette victoire tombe à point pour le Jazz, qui en avait bien besoin après plusieurs matchs compliqués. Avec le retour en forme de Walker Kessler (11 points, 10 rebonds, 3 contres) et une adresse de folie, Utah peut aborder la suite avec plus de confiance. Leur prochain match contre les Spurs sera une belle occasion de confirmer.
