Pas de suspense à Milwaukee : les Bucks ont fait le taf sérieusement face à une équipe des Lakers privée de ses stars, avec une victoire tranquille 118-89.
Une équipe bis… et ça s’est vu
Pas de LeBron, pas de Doncic, pas de Reaves… et forcément, pas de miracle. Les Lakers, qui avaient gagné la veille contre Denver, ont débarqué sans leur ossature. Et ça s’est vu dès le premier quart : un 16-0 des Bucks, et l’affaire était déjà bien engagée. Derrière, Milwaukee a géré sans jamais être inquiété.
Giannis Antetokounmpo a fait du Giannis : 28 points, toujours aussi agressif. Mais c’est surtout Gary Trent Jr. qui a fait mal avec 23 points, dont un joli 6/10 à trois points, alors que le reste de l’équipe galérait derrière l’arc. Sans Lillard, les Bucks ont montré qu’ils avaient d’autres armes.
Bronny James se montre enfin
S’il y a un point positif côté Lakers, c’est Bronny James. Le fiston de LeBron a enfin passé un cap avec 17 points à 7/10 au tir. Un match propre, de la confiance, et un petit shoot de lumière dans une soirée bien sombre pour les Angelinos.
Avec cinq des six meilleurs scoreurs absents, les Lakers n’avaient ni les jambes, ni les solutions. Knecht et Vincent ont tenté de combler le vide mais ont tiré à 30 % ensemble. Et même si Milwaukee n’a pas brillé tout le long, l’écart s’est creusé sans forcer.
Après deux défaites de suite, ce match ressemblait à une formalité… mais encore fallait-il le prendre au sérieux. C’est ce qu’ont fait les hommes de Doc Rivers, en se montrant appliqués et concentrés. Direction Sacramento pour confirmer.
Les Lakers, eux, espèrent juste récupérer un peu de monde avant d’affronter Chicago. Parce que là, ça commence à piquer.
