Les Cavaliers de Cleveland sont dans le dur, et l’espoir repose en partie sur Darius Garland et Donovan Mitchell. Le Game 5 contre les Magic d’Orlando est plus qu’un simple match, c’est le moment de montrer de quoi ils sont capables.
Le grand soir pour Mitchell et Garland ?
La série a été un vrai ascenseur émotionnelle pour les Cavs, avec un démarrage en force et puis, paf, deux immondes défaites à Orlando. Maintenant, c’est le moment de vérité. Donovan Mitchell, d’habitude si tranchant en playoffs, doit absolument retrouver son mojo. Avec des stats en baisse, le Game 5 c’est sa chance de faire taire les critiques et de rallumer la flamme.
Cela commence par moi. Je n’ai pas marqué en deuxième mi-temps. Je dois faire mieux sur les deuxièmes mi-temps. C’est ce qui s’est passé tout au long de la série. … Nous devons être meilleurs, je dois être meilleur. Je suis déçu de moi-même et je vais m’améliorer
Donovan Mitchell
Darius Garland doit aussi sortir le grand jeu. Jusqu’ici, il n’a pas vraiment brillé, avec seulement 12 points de moyenne et une précision qui laisse à désirer. Si Garland veut prouver qu’il mérite son statut de star, il n’y a pas mieux que ce soir pour faire un match de patron.
Ils veulent que je shot plus, c’est pourquoi ils me tapotent la poitrine et essaient de me pousser à prendre davantage mes responsabilités (…) C’est le problème : ils pensent que je ne suis pas aussi agressif en ce moment. »
Darius Garland
Qu’est-ce qui est en jeu pour Cleveland ?
Une défaite ce soir ? Catastrophe. Les Cavs doivent absolument éviter de se retrouver dos au mur avant de retourner à Orlando. La pression est énorme, et elle repose surtout sur Mitchell et Garland.
Bref, ce Game 5 n’est pas juste un match, c’est une mission. Donovan Mitchell et Darius Garland doivent se lever et prouver qu’ils peuvent porter les Cavs. C’est le moment de briller, de montrer qu’ils sont les boss. Le match commence ce soir à 02h00, rendez-vous sur beIN prêt à insulter J. B. Bickerstaff.
Ah oui, petite précision, je ne parle pas du fait que J. B. Bickerstaff doit également se réveiller pour trouver les bons ajustements car j’ai arrêté de croire au Père Noël.