Menés par un Donovan Mitchell en feu (41 points), les Cavaliers s’imposent 123-116 sur le parquet des Celtics, malgré un énorme Jayson Tatum (46 points, 16 rebonds, 9 passes). Une bataille intense, du suspense jusqu’au bout, et un message clair : Cleveland est là pour dominer !
Départ en fanfare des Celtics, Cleveland encaisse mais ne rompt pas
Les Celtics démarrent le match comme des fusées. 25-3 en cinq minutes, Jaylen Brown et Jayson Tatum en mode rouleau compresseur, TD Garden en éruption. Kenny Atkinson est obligé de stopper l’hémorragie avec un temps-mort ultra rapide.
Mais Cleveland garde son calme. Mitchell prend les choses en main, enchaîne les paniers et ramène les siens. 17-5 de run, et voilà les Cavs de retour dans le game. À la pause, Boston mène toujours (74-64), mais le match a clairement changé de tournure.
Mitchell et Mobley retournent la situation
Retour des vestiaires, Tatum continue son festival, mais Mitchell lui répond du tac au tac. 10 points d’affilée, Cleveland ne lâche rien. Puis Evan Mobley s’en mêle : 9 points à la suite, et bim, les Cavs passent devant (104-101).
Boston commence à douter. Jaylen Brown se heurte à Okoro, Tatum force un peu trop, et les tirs ne rentrent plus aussi facilement. Joe Mazzulla tente de relancer la machine, mais Cleveland est en mission.
Garland achève Boston
Alors que les deux équipes sont au coude à coude (114-114) à deux minutes de la fin, Darius Garland sort une bombe à trois points à neuf mètres. TD Garden en apnée. Derrière, Mitchell ajoute un panier avec la faute, et Tatum perd un ballon précieux. Garland enfonce le clou, écart à +7, game over.
Tatum et Brown en mode superstar, mais Cleveland trop solide
Oui, Tatum et Brown ont été monstrueux. 46 points pour l’un, 37 pour l’autre, mais ça n’a pas suffi. Le banc de Cleveland a fait la différence : 33 points contre seulement 6 pour celui de Boston. De’Andre Hunter (12 points, 3/3 à trois points) a été précieux, et la profondeur des Cavs a fini par peser.
Cleveland conforte sa place de leader à l’Est et envoie un message clair : cette équipe n’est plus juste une belle histoire, c’est un vrai candidat au titre. Boston reste une machine, mais ce duel a peut-être été un avant-goût des Finales de Conférence. Vivement la suite !
