Choke and Clutch » Les Celtics cognent fort à Portland malgré l’absence de leurs stars

Les Celtics cognent fort à Portland malgré l’absence de leurs stars

Sans Jaylen Brown, Jrue Holiday ni Kristaps Porzingis, les Celtics ont pourtant déroulé à Portland. Portés par un Jayson Tatum solide, une adresse extérieure impressionnante et des remplaçants inspirés, Boston s’offre une cinquième victoire de suite (129-116) et prouve une nouvelle fois la profondeur de son effectif.
Jayson Tatum

Pas de Brown, pas de Holiday, pas de Porzingis. Et pourtant, Boston a roulé sur Portland (129-116) avec un Tatum taille patron, un feu d’artifice à trois points, et des remplaçants en feu.

Jayson Tatum fait le boulot

Boston n’a pas perdu de temps. Six tirs à trois points plantés dans le premier quart, une adresse insolente, et une avance directe (34-24). Sam Hauser allume d’entrée, Scheierman, White, Pritchard et même JD Davison s’y mettent. Portland regarde passer la tempête.

Pas besoin d’en faire trop : 30 points, 9 rebonds, 9 passes pour Jayson Tatum. Il accélère au retour des vestiaires, lâche 18 points dans le troisième quart, dont un and-one venu d’ailleurs. Le genre de tir qui calme tout le monde. Boston s’envole à +18.

Hauser et Pritchard, tueurs silencieux

Sam Hauser termine à 8/10 de loin. Il n’a mis que des trois points, propre. Payton Pritchard, lui, sort un 3/3 longue distance en moins de deux minutes pile au moment où Portland revenait. Ils pensaient revenir, ils ont juste pris un mur.

Portland accroche mais ça ne suffit pas

Simons (15 pts) et Sharpe (23 pts) tentent de maintenir les Blazers en vie. Ils reviennent à égalité dans le deuxième quart, passent un 12-0, font illusion. Mais derrière, White, Horford et Kornet enchaînent proprement. Le collectif de Boston est juste au-dessus.

Cinq victoires de suite, 52e victoire de la saison, et un message clair : ce groupe est profond, solide, et prêt pour n’importe quel contexte. Même en back-to-back, même à l’extérieur, même sans trois titulaires. C’est pas juste une équipe en forme, c’est une machine.