Choke and Clutch » Coby White allume les Kings, les Bulls s’offrent un gros coup à Sacramento

Coby White allume les Kings, les Bulls s’offrent un gros coup à Sacramento

Portés par un Coby White incandescent, les Bulls ont renversé les Kings chez eux dans une rencontre où tout s’est joué en deuxième mi-temps. Entre tirs longue distance, défense agressive et collectif bien huilé, Chicago signe une victoire référence dans sa course au play-in.
Coby White et Keon Ellis

Grosse performance des Chicago Bulls avec une victoire bien maîtrisée 128-116 chez les Kings. Coby White a pris feu en deuxième mi-temps et a porté les siens avec 35 points au compteur.

Chicago était mal embarqué à la mi-temps, derrière 64-55, mais a complètement changé de visage au retour des vestiaires. Un run de 11-0 dans le troisième quart a tout relancé. À partir de là, les Bulls ont pris le contrôle et ne l’ont plus lâché.

Coby White a sorti une deuxième mi-temps de folie avec 31 points après la pause. À ses côtés, Kevin Huerter a aussi brillé : 25 points, 7 passes, 5 rebonds et 4 interceptions. Ultra propre au tir (10/16), il a fait mal toute la soirée.

Les Kings débordés sans Sabonis

Sans Domantas Sabonis, les Kings ont eu du mal à exister dans la raquette. Leur défense a pris l’eau face à une équipe de Chicago ultra adroite (52,3 % au tir, 42,9 % à 3 pts).

Malik Monk a bien tenté de tenir la baraque avec 34 points, et Trey Lyles a ajouté 22 points, mais ça n’a pas suffi. Sacramento a encaissé 73 points en deuxième mi-temps et n’a jamais pu suivre le rythme.

La bascule s’est faite dans le troisième quart, quand les Bulls ont haussé le ton des deux côtés du terrain. En attaque, ça déroulait. En défense, ils ont mis la pression, récupéré des ballons, et fini en transition. Mention spéciale à Vucevic : 24 points, 14 rebonds, 8 passes, énorme présence.

Les Bulls (30-40) enchaînent dès samedi contre les Lakers, pendant que les Kings (35-34) accueilleront les Bucks. Avec un Coby White clutch, Chicago peut encore espérer gratter une place pour le play-in. Rien n’est fini.