Les Wolves s’imposent 120-117 contre les Suns grâce à un buzzer-beater de Julius Randle. Une fin de match irrespirable qui envoie le Target Center en ébullition.
Les Suns prennent les commandes d’entrée
Phoenix démarre le match en mode rouleau compresseur. Devin Booker est en fusion, enchaînant les paniers comme si c’était un entraînement. Avec 17 points dans le premier quart, il met les Wolves sous pression directe. Julius Randle tente bien de garder les siens dans le match, mais difficile de rivaliser avec l’adresse des Suns.
Dans le deuxième quart-temps, Grayson Allen sort la boîte à trois points et continue d’enfoncer les Wolves. Même si Donte DiVincenzo allume quelques fusées pour Minnesota, Phoenix garde la mainmise. À la pause, les Suns mènent 64-54, et le match semble déjà plié.
Le réveil tardif des Wolves
Le troisième quart-temps marque un tournant. Enfin, Anthony Edwards se met en route. Avec 13 points dans cette période, il relance l’espoir côté Wolves. Pendant ce temps, Rudy Gobert gratte un double-double classique (11 points, 10 rebonds) et l’équipe commence à retrouver son rythme.
Les Suns, eux, continuent de compter sur Booker, qui enchaîne les paniers clutch. Mais les Wolves ne lâchent rien. Entre un dunk féroce de Jaden McDaniels et un tir à trois points d’Edwards, Minnesota recolle peu à peu. Phoenix reste en tête, mais l’écart se réduit dangereusement.
Le buzzer-beater de Julius Randle
La fin de match est un véritable thriller. Les Suns ratent plusieurs chances de tuer le match, notamment avec une tentative maladroite de Booker dans les dernières secondes. Nickeil Alexander-Walker capte le rebond et les Wolves appellent un temps-mort. C’est là que Julius Randle entre en scène.
Sur la dernière possession, il met son défenseur dans le vent avec un step-back assassin, déclenche son tir à trois points… Ficelle ! La salle explose, Randle est porté en héros. Avec 35 points et 7 passes, il signe une performance XXL, mais surtout, il offre une victoire dingue à son équipe.