Detroit a vécu une nuit complètement folle. Cade Cunningham a tout pris. Absolument tout. Résultat : 46 points, une victoire arrachée 137-135 en prolongation face aux Wizards, un triple-double monstrueux, et surtout… un record de tirs manqués jamais vu depuis Kobe Bryant.
Un match sorti d’un autre monde
Dans une rencontre complètement débridée, Cade Cunningham a décidé de prendre le jeu à son compte. Littéralement. Le meneur des Pistons a balancé 45 tirs, dont 31 RATÉS, pour finir avec 46 points, 12 rebonds, 11 passes, 5 interceptions, 2 contres. Le genre de feuille de stats qui fait autant tourner la tête que grincer des dents.
46 points en 45 tirs en 44 minutes
— Choke & Clutch (@ChokeClutch_com) November 11, 2025
La performance lunaire de Cade Cunninghamhttps://t.co/BfTFUWUXhE
Avec 14 tirs réussis seulement (soit 31,1 % de réussite) et un 2/11 à trois points, le franchise player de Detroit a signé la ligne la plus déroutante de l’année… et peut-être de la décennie. 31 tirs manqués : du jamais vu depuis Kobe Bryant en 2002. Oui, ça remonte.
Les Pistons s’en sortent… grâce à un two-way player inconnu
Et pourtant, malgré cette orgie individuelle de tirs, les Pistons gagnent. Grâce à une fin de match aussi improbable que le scénario dans son ensemble. Menés de 9 points à 4 minutes de la fin, ils arrachent la prolongation sur un trois points salvateur de Daniss Jenkins, un joueur en contrat two-way quasiment inconnu.
Ce même Jenkins termine avec 24 points à 9/17 au tir, 8 rebonds, 3 passes, et surtout le shoot de la soirée. Un twist que personne n’avait vu venir, au cœur d’un match cauchemardesque pour les automatismes collectifs de Detroit.
Un leader… ou un joueur hors de contrôle ?
45 tirs, 40 % des tentatives de l’équipe, un tir toutes les minutes, des séquences en mode iso sans regarder personne… Cade Cunningham a flirté avec les limites du raisonnable. Héros ou saboteur ? On doit le féliciter ou l’insulter ?
Mais avec une 7e victoire consécutive et une place de leader à l’Est (9-2), Detroit continue son début de saison canon. Et Cade, lui, restera dans les livres d’histoire… pour de bonnes ou de mauvaises raisons. À chacun son prisme.





