Choke and Clutch » Sans Giannis, les Bucks s’effondrent face aux Cavaliers

Sans Giannis, les Bucks s’effondrent face aux Cavaliers

Privé de Giannis Antetokounmpo dès la seconde période, Milwaukee a cédé face à une équipe de Cleveland appliquée et bien emmenée par Sam Merrill, auteur d’une belle série à 3 points. Les Bucks s’inclinent logiquement (118-106) après avoir dominé le début de rencontre.
Blessure de Giannis Antetokounmpo

Milwaukee a bien commencé, mais l’absence de Giannis Antetokounmpo en seconde mi-temps a changé toute la dynamique. Cleveland s’impose à domicile (118-106) en profitant d’un adversaire affaibli.

Une entame de feu pour Milwaukee

Le début de rencontre est à sens unique. Giannis dicte le rythme, distribue, conclut, et les Bucks mènent rapidement 11-2. Le premier quart est maîtrisé (26-33), et Milwaukee semble en pleine confiance. Antetokounmpo est dans tous les bons coups avec 14 points, 5 rebonds et 4 passes en seulement 13 minutes.

Mais les Cavaliers ne paniquent pas. Donovan Mitchell retrouve ses sensations et Cleveland recolle (59-57) avant la pause.

Blessure de Giannis Antetokounmpo

Le coup de massue pour les Bucks arrive discrètement : Giannis ne revient pas sur le parquet. Touché à l’aine gauche, il reste sur le banc. Doc Rivers évoque une blessure sérieuse, avec une IRM prévue rapidement.

Sans leur franchise player, Milwaukee reste dans le match pendant un temps (92-88 à l’issue du 3e quart), mais la tendance s’inverse.

Sam Merrill, facteur X inattendu

En l’absence d’Antetokounmpo, les Cavaliers élèvent leur niveau de jeu. L’homme de la situation ? Sam Merrill, sniper qui fait exploser la défense des Bucks. L’arrière claque 6 tirs à 3 points, dont 5 en seconde période. Cleveland creuse l’écart, contrôle le tempo, et ne regarde plus derrière.

Un revers qui interroge à Milwaukee

Sans Giannis, les limites des Bucks apparaissent. Le collectif peine à s’ajuster, les solutions offensives deviennent rares, et la défense recule. Doc Rivers devra rapidement trouver des réponses si la blessure de son leader s’avère sérieuse.

Face à une équipe diminuée, Cleveland a fait ce qu’il fallait. Pas de démonstration, mais une gestion sereine. Mitchell a assuré la création et Merrill a frappé fort. Une victoire bien construite, et peut-être le début d’un regain pour les Cavaliers.